Cette chaleur de bête, presque obscène, La chaleur du boulevard Saint-Germain, la chaleur de Chicago, la chaleur de Téhéran, la chaleur d’Alger, la chaleur de l’Angola. On vit la nuit, on boit du rosé floté de glaçons. On regarde la parade des oisillons gansés dans leurs pantalons haut prise à la taille et leurs seins libres, de tous calibres, se dandiner. Sin verguenza. Tout est changé.
On n’a même pas fait le bilan, on aurait du parler, c’est déjà l’embrasement et la lame.
Have a good Summer !