Avec tout ce bordel insidieux des réseaux sociaux je ne sais plus quoi et à qui écrire.
Facebook est la pire des trames dans laquelle je me sois insérée. Je ne peux rien y livrer de personnel qui ne soit brillant, heureux et conforme. La douleur et le doute y sont proscrits. Je reviens écrire Ici. Blogskaïa m’a sauvée du vide absolu de ma vie. Avant tout ça, avant le passe-plat des amusements et des partages creux à crever…
Je ne veux plus savoir avec qui tu es maintenant ami ni plonger dans ses selfies obscènes dont je ne pourrais jamais mesurer le degré d’intimité que vous aurez partagé.
C’est içi que j’écris. Içi c’est chez moi et j’y serai à nouveau vraie et aimante et sans retenue.