Les trois dernières ruptures d’aimer ont brisé ma joue.
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A la passante
In Uncategorized on 26 juillet 2019 at 3:43Je suis toujours stupéfaite de l’Amour qui n’est plus. Il était si intense, je n’ai pas rêvé et là, je te revoie ou bien j’accède aux nouvelles de ta vie sans moi, et tout a disparu, comme si Nous n’avions jamais étés ces corps fourbus de nous étreindre. Comment est-ce possible que tu retournes à ton atonie, toi, ou bien que toi, tu offres tout à celle qui m’a remplacée ? Comme si de rien n’était. Il faut croire que je suis une passante.
Tuileries
In Uncategorized on 26 juillet 2019 at 3:31Je me rappelle qu’ici je peux tout dire.
Alors voilà, depuis la naissance de ma petite entreprise,
Je travaille à l’heure, j’ai couru comme vous tous dans une chaleur africaine. Je courre pour gagner ma vie dans ce beau quartier surchauffé du Faubourg Saint-Honoré que je déteste où les touristes indolents et mal élevés bloquent le passage. Je dois y aménager ma peine, car rien n’est offert à la pause ni à l’ombre. Ni banc, ni retrait. J’apprends tout de la joaillerie.
Là, j’y croise ta Femme, ta Fille et ton autre Fille aussi. Elles m’avaient dit que je n’aimais pas les gens qui avaient de l’argent. Nous sommes dans leur quartier. Ce type d’argent. Oui, j’avoue qu’il ne me dit rien, qu’il fait trop de bruit et rend les femmes laides à force d’injections et juste guidées par la proue de leur portable. Quand j’en ai terminé de compter les diamants, je passe la Seine pour retrouver mes amis qui lisent des livres, boivent de la bière ou du vin et qui me sourient.
Dites moi
In Uncategorized on 17 juillet 2019 at 3:07Je te vois ce soir qui bois près de moi mais je ne sens plus rien, même pas ton odeur que j’aimais. Tu me manques à mort. Tu préfères la tienne.
C’est une grande tristesse tissée de pas de fin, de pas de mots d’amour, tissée si fine de mon chagrin et dis moi, quand même de notre amour.