Personne n’en veux. Elle est taboue et laide. Moi je l’ai. Elle me permet de me servir aux bassinets des vieux crétins et des filles laides et sourdes. La colère frise mon dos plein de squames et des petites douleurs qui peuplent mon corps épileptique et toutefois heureux. Ma colère de n’avoir défait des discordes, ma nouvelle vie qui mange des chats, des chiots, des fleurs, des jardins.