J’oeuvre à rendre l’appartement plus léger, juste ce qu’il faut. Je donne mes affaires magnifiques à des filles d’autant plus belles qu’elles sont mes amies. Les bijoux, les jolis pulls, les bottines qui claquaient le bitume de Paris, j’en chiale. C’est de l’ordre d’être et d’avoir été. C’est dur mais sans pleurer, ça ne sert à rien, et les gros yeux vilains, je n’en veux pas, c’est trop dur à ravaler.