Quand je lis Catherine Millet « Commencements » je suis saisie par son absolue libertée d’envisager le sexe en faisant l’amour avec tout le monde. Je me dis que j’ai loupé un truc super et j’ai mal à la lire. Ca me donne envie de chialer.
Quand je lis Catherine Millet « Commencements » je suis saisie par son absolue libertée d’envisager le sexe en faisant l’amour avec tout le monde. Je me dis que j’ai loupé un truc super et j’ai mal à la lire. Ca me donne envie de chialer.