Il y a des frangins qui sont très forts pour me faire aimer ce qui est nouveau. Les temps, la musique, une autre façon de supporter le monde et de s’y adapter. Merci à tous ceux qui font marcher la machine, qui nourrissent la bête et qui partagent. Ceux qui ont le courage d’envoyer des messages pour toucher des personnes qu’ils ne connaissent même pas. Ceux qui ont la pudeur de ne pas imposer leurs opinions et qui évitent le prozélitisme, ceux qui ont le courage d’écrire avec des mots choisis. Ceux qui savent reconnaître les leurs dans le secret, ceux qui aiment perdre leur temps à débattre ou à frimer. Ceux qui nous font rire bien qu’encerclés par la censure.