Je fais ce que je peux pour survire à l’intensité du moment. Je n’aime pas vous voir courbés sur vos portables. J’aimerais croiser vos regards si encore vous en avez un. Parfois nos jambes ou nos bras se touchent dans la promiscutié du métro ou du RER. Aucun regard. Je me sens seule. Je n’ai même pas envie d’appeler des potes. Je fonce dans la bouche du métro pour rentrer chez moi. La chatte. Mon bled.