Sans toi revenu de beaucoup d’années de notre jeunesse.
Ca sonne comme une chanson kabyle chantée par nos parents
des paysages et des parfums d’agrume qu’ont aurait partagés sans nous connaître, des années de liberté étudiante en réalité étouffées, de mauvais choix, des ivresses tournantes et beaucoup de pertes. Je t’aime avec ton nez pointu et ta façon de m’aimer.