Je ne suis plus d’aucun combat. Je suis de chair un peu blête d’avoir vécu. Je me maintiens dans l’aune d’un quotidien digne de mon éternelle vie d’étudiante. J’ai toujours la vaisselle de mes vingt ans et mon cul aussi. Je ne me suis pas enrichie pendant toute cette vie à encaisser la révolution numérique. J’y ai ai tout perdu.