Après le jour terrible il y a la nuit que j’aime et que je retiens. Reste avec moi, maintenant que j’ai bu et que j’y vois clair et que les hommes me reviennent. C’est maintenant que j’écoute PJ et que je relis les poèmes et que je danse un peu. Il n’est plus l’heure de tirer une page banche du carton à dessin. Le temps est imparti. Je suis entre deux eaux et de l’infecte décence. Je vais me coucher de force du temps et du travail.