Obsédée par PJ Harvey. Cette femme me clone, je suis d’Elle et ses plaintes coulent des miennes. J’aime sa maigreur et ses seins plats dans l’échancrure de son vêtement menu et de son cuir. J’aime sa bouche trop rouge se tordant sous la nuit. C’est Elle dansant en sortie de boite, c’est moi qui déboite. Je l’aime en flêche dans ce cri qu’elle lance « there will be a place for us ». J’ai mis mon parfum partout chez moi.