Je tête la ciagarette électronique que tu as laissée au chevet de ton départ.
Je volute ce qu’il faut pour te sentir et vivre encore 24 heures après le discours du Président. Viens, de toutes façons, nous nous verrons toujours, nous serons renaclants et vilains et trop vieux pour avoir peur des règlementations pénibles et qui suent de tous les fronts. Plus que jamais j’aime 24 heures et les choses vite faites comme les pâtes du soir avec un quelconque arrangement. Se jeter dans la mer tous nus on verra plus tard, peut-être une autre année. Oh c’est t’aimer.