Moi je veux bien couvrir mon feu et que plus personne ne le voit à l’heure où j’étais bien belle pour sortir. Je rentre et je suis là, dépossédée, de Toi, et plus encore quand tu m’ignores, quand ta vie m’empêches et que je n’y serai jamais invitée. Je suis emmenée alors par d’Autres. Demain la Messe. Et le marché. Et mon âme saturée de fruits et légumes que je ne sais jamais accomoder. Une porte ensuite vers un Musée et les dernières expositions pour nourir une faim immense. C’est mon merveilleux Dimanche, demain.