Vais-je seulement pouvoir remettre mes robes élimées. Cet Eté perdu et un peu froid dans un Paris dégueulasse sans touristes pour en masquer la saleté et la médiocrité de son service. Paris carbonisé par ses occupants sans logis qui lui font des doigts et conchient ses trottoirs abandonnés. Paris, où sont les belles filles qui rient trop fort à tes terrasses ? Tes grands hôtels fermés, tes grands boulevards affirmés crevards, les Champs Elysées même désertés par les Roms, pour l’instant on rigole. Quand on reviendra chercher du boulot et de la joie en septembre on verra, on boira une bonne tasse à la santé de Paris défoncé.