Est ce qu’on se reverra après l’Eté, quand j’ai dit ne plus vouloir te parler et quand je t’ai laissé avec ta plus jeune fille, tes cols savoyards et tes têtes piquées dans les piscines de Meylan. J’étais à Paris dans le gris et tu m’avais oubliée, plus le temps de me rassurer du fond de ta zone de confort, j’ai tout masqué pour le reste de l’Eté. Je n’ai pas mal, je t’aime pour l’idée, le reste long, tu l’avais annoncé, autant m’échapper et rire avec mes potes kabyles au café. Pauvre Eté.