Me revient ce goût immodéré pour la chanson italienne qui arrache le coeur. La nostalgie qui monte au ciel, le rimmel qui coule un peu, tout ce que je peux retenir. Dans le chaos de Paris démonté de son métro et du suburbain, je me fais des fesses de reine, à marcher et à prendre autant de temps à rentrer. Maintenant je suis sûre des trottoirs et de tous les endroits où mes amours ont fait une halte. On marche et on rêve de vacances à Amalfi.