Je n’ai pas d’amoureux, je n’ai pas de prise, je n’ai pas de muse, rien ne m’amuse. Les salopes me diront que c’est de ma faute, que j’ai foiré d’avoir un mec qui ronfle à mes côtés. Non, moi je dis que je suis la reine de mon lit. Tu vois, Baby, quand je t’aimais, je partais quand c’était fini, je me jetais dans ton petit escalier déglingué, rejoindre la rue, ta rue qui était à deux pas de la mienne et je sentais encore ton sexe éclore et abonder entre mes cuisses nues. C’était ça. Personne ne peut l’envisager.