Après cette émotion, il n’y aura pas de suite. Ce sera donné aux oiseaux de Paris au matin. Corneilles aux cris glauques, pigeons des poubelles, moineaux mourants. Je marche vers le métro pour revenir de notre nuit dont je n’ai même pas le numéro. Mon ventre est encore tendu de notre tressaillement et de nos jambes qui aboyaient. Personne ne le sait dans la rame, je suis la seule à savoir que je t’ai connu.