Maintenant que tu t’es marié, je me demande si je ne vais pas mieux. Ça me fait un peu le même effet que lorsque je passais le relais à une athlète. Tu as bien le droit d’être heureux, sur les fondations de ta nouvelle vie puisque c’est ensemble que nous les avons consolidées, souviens toi, tu étais à la rue. Tu m’avais dit » Tu me penses capable de jouir de ma nouvelle situation avec une autre que toi ? Alors que c’est grâce à toi que je me suis sorti de l’ornière et que je me suis rétabli ? Tu m’imagines faire ça ? ». Il semble que oui, tu l’as fait. Bref, on s’en fout. Je dis toujours ça quand le sentiment d’injustice m’ôte les mots de la bouche.