Tout s’est arrêté brusquement. Le planning, les compte-rendus, les mails pros, les factures au format, les terrasses bondées, les gens fourbus, les rames de métro martyrisées, les bousculades pour prendre le train, les soldes, Instagram, c’est l’été. J’y viens. Mi-août, l’époque des orages, des coups de tonnerre, des bals et des dernières marques de maillot. J’y serai.