Je reviens du Paris de la Bastille, des cafés, du vin et de l’évocation à une amie de ce qui m’est arrivé ces dernières semaines. Je n’arrivais pas à en faire un journal ramassé et concis, je me sentais dolente entre la fatigue et un fond de douleur. Je parlais de Vous tout en moquant le fait que vous m’ayez abandonnée, je revivais la drôlerie de vous avoir découverts nus, les sons des activités annexes, l’odeur de vos lits, le tourment de mes jalouseries, tout ce que j’ai risqué à vous aimer comme une poire, la soif.