Je suis toujours stupéfaite de l’Amour qui n’est plus. Il était si intense, je n’ai pas rêvé et là, je te revoie ou bien j’accède aux nouvelles de ta vie sans moi, et tout a disparu, comme si Nous n’avions jamais étés ces corps fourbus de nous étreindre. Comment est-ce possible que tu retournes à ton atonie, toi, ou bien que toi, tu offres tout à celle qui m’a remplacée ? Comme si de rien n’était. Il faut croire que je suis une passante.