Je t’aime aux tâtons de nos générations, aux frontières numériques, de quand tu n’étais pas né, de quand vous nous avez coiffés au poteau sans savoir parler. Je te rapportais ce soir de façon intelligible mais tu n’as rien entendu comme si je devais revoir ma copie de t’aimer. Je t’ai affranchi d’un truc immense dont tu n’auras de cesse de me faire oublier, moi dans l’eau du bain. Je fouetterai d’autres chats.