Je ne sais comment l’obsession de toi m’a brusquement quittée. Enfin Jésus. Tu te levais avec moi dans la poisse de tous les matins de ces années infinies, je t’injuriais le jour durant.
Maintenant je ne sens plus rien de cette terreur. Je me suis mise à serrer un autre corps qui me caresse enfin. Alors c’est vrai ! Avec le temps, tout s’en va.