Heureusement que je suis bien ici
Que personne ne me lit et que je n’ai de compte à rendre à personne
Ce soir, mon Dieu
Je suis acculée à l’Automne
au grand chagrin des jardins qui étouffent sous les feuilles, à une semoule complète,
au riz au lait dégoutant
Mon Dieu, j’ai perdu l’amant que j’aimais