On me préfère arrachée au prosaïque et planant au-dessus des glaises,
je me retrouve souvent minuscule, embourbée, à mâcher des gros mots.
Après la honte, je fais pénitence en lisant de belles lettres et je ne sais plus quoi écrire.
On me préfère arrachée au prosaïque et planant au-dessus des glaises,
je me retrouve souvent minuscule, embourbée, à mâcher des gros mots.
Après la honte, je fais pénitence en lisant de belles lettres et je ne sais plus quoi écrire.