TitaBlogskaïa

Ne doutez pas de la justesse de vos deux visages

In Uncategorized on 1 décembre 2012 at 11:35

« Bollingen, 20 août 1945 »

« Vous êtes vous-même un contraire, furieux en lui-même et contre lui-même, qui finit par fondre ses substances incomparables, la masculine et la féminine, dans le feu de la souffrance afin de construire ainsi quelque chose de solide et d’immuable – ce qui est le but de la vie. Chacun passe par ce moulin, consciemment ou inconsciemment, de plein gré ou contraint. On est crucifié entre les contraires et on subit un supplice jusqu’à ce que la troisième figure l’emporte. Ne doutez pas de la justesse de vos deux visages et laissez advenir ce qui doit advenir. »

Lettre de C.G. Jung à Olga Kapteyn-Fröbe.

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