L’été est là mais je ne le sens pas. Il faudrait pour danser attendre samedi soir. Il faut se poster aux terrasses avec les jambes nues. Il faut les copains pour battre le fer, que l’information cesse, quitter cette guérite.
Le solde est déjà consommé, il reste l’apnée du compte, la poire pour le congé payé, l’expiration de boire retenue en terrasse, toute cette petite misère d’être parisienne, cette soif de vouloir la nuit et de rentrer si floue.