Je lisais ce bouquin de Delphine de Vigan (quel beau nom tout de même) « Les heures souterraines » et j’ai trébuché plusieurs fois dans le métro, à Opéra, à cause de ma cheville en mousse et puis à Malesherbes sur le trottoir défectueux. On m’a demandé si j’avais pleuré de la lire. Non, je me suis habillée d’elle et cette fin n’en valait pas la peine.