Le temps passe et les femmes deviennent incomparables. Leur effrontée jeunesse m’accule au baiser qui se ride, aux traits profonds. Je cède autre part, carne souffrant moins, acquise aux voluptés du creux des lits. Elles sont les filles désirées que je n’aurais pas élevées.
Je lis « Dolce Vita – 1959-1979 » de Simonetta Gregio et « L’Empire du Bien » de Philippe Muray.
J’écoute « Comme un boomerang » – Daho/Dani et « Psyche or Like Scope » de Family of the Year.