Quand on aime, il faut le dire. Même si ce sera, à revoir où à tarir. Le tout est de laisser l’échapper.
J’écoute « Almamegretta » et puis « Nneka ». C’est Noël et je me retrouve avec moi après la belle fête, la fratrie et tous ces cadeaux, avec le soleil.
Après avoir souffert me reposer enfin. Comme toujours finalement tout est bien. Même dans l’espace restreint où je vis avec le fils en expansion et le temps haché par mes vices, j’empoigne le tirant des rencontres, il y a tant de choses à faire.
Je lis « Les amants du Spoutnik » de Haruki Murakami et « Deux interviews imaginaires » d’André Gide.
Je pense fort à tout.
« Quand on aime, il faut le dire. Même si ce sera, à revoir où à tarir. Le tout est de laisser l’échapper. »
c’est bien dit. même si ça ne fait pas forcément plaisir, cette vie, cet amour de robinet.