Je relis aussi « Journal d’un homme trompé » de Drieu la Rochelle, « Les champs magnétiques » de Breton et Soupault.
J’écoute encore « The Piano » de PJ Harvey, quand elle chante : « Nobody’s listening, oh God I miss you ».
Le dimanche, j’ai envie de messe, de traversées entêtées à la piscine, d’arums au marché place Monge et après, de rien.
Tu me hantes de m’avoir tant plu, amoureux à peine né. Tu me manques de l’effort avorté puis reporté dit revirement, point sur le i, barre sur le t, et autre typographie alors que ma plus grande peine est ton cruel reproche de trop t’enlacer. Aspirer à aimer, à être aimée, et espérer la vague restreinte, le lait qui ne monte plus, ton monde aux frontières du mien.
J’ai mis un temps fou à me remettre à tout ça mais qu’est ce que ça m’a manqué !